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Le Sot-l'y-laisse

Le Sot-l'y-laisse
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Archives
22 avril 2005

Peut-être ...

.... " peut-être que le vol des oiseaux n'est dû qu'à l'insistance des pierres à ne se tenir que dans la pierre ? " Jean Louis Giovannoni
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16 avril 2005

" Le livre des nomades "

Nous commencions à croire que l'herbe est une virgule alors qu'elle pousse comme une parenthèse °°°°°°°°°°°°°°°°° Nous avons un rire qui flambe et le soleil lui-même est sur nos dents °°°°°°°°°°°°°°°°°°° Nous caressons nos chiens pour qu'ils connaissent...
19 mars 2005

La porte de l'Autre ...

.... Un jour viendra Où j'inventerai l'Autre Pour qu'il soit moi Et que moi , je sois enfin lui Et qu'ainsi nous soyons tout autre L'un et l'autre . Yves Namur ( Le Livre des sept portes - extrait )
6 février 2005

Le Coeur ...

Le coeur dans le coeur . Et le souffle dans le souffle , Tu étais si pres de moi que je ne pouvais te voir . Je voyais loin à travers ton épaule une ombre cime J'étais partie comme pour aller au-delà de toi . Blaga DIMITROVNA
3 février 2005

Les gens de mon quartier

moi aussi j'ai été un petit garçon et une petite fille j'ai eu un corps et une vie j'ai été dispersée en d'autres corps . je suis devenue seule ce que je suis quand j'ai compris que quelque chose était en train de mourir , là , à l'interieur , où vivait...
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25 janvier 2005

La carte du soir

Une fois de plus l'an nouveau mélange nos yeux. De hautes herbes veillent qui n'ont d'amour qu'avec le feu et la prison mordue . Aprés seront les cendres du vainqueur Et le conte du mal ; Seront les cendres de l'amour ; L'églantier au glas survivant ;...
19 janvier 2005

Apprends ...

Apprends des ruines le rythme alterné du règne et du sommeil des mondes . Monnereau
11 janvier 2005

Epitaphes

Ils n'ont pas la moindre lueur de douceur , ni l'accouplante innocence du sanglier . Ils ne cherchent pas sur les lèvres le printemps qui fourmille . Ils ne descendent pas à la citerne , ne contemplent d'eau ni de visages tremblants . Antonio OSORIO
9 janvier 2005

15eme poesie verticale (extrait)

La nuit tombe parfois comme un bloc de pierre et nous laisse sans espace . Ma main ne peut plus alors te toucher pour nous défendre de la mort et je ne peux plus moi-même me toucher pour nous défendre de l'absence . Une veine jaillie sur cette même pierre...
6 janvier 2005

3eme Poésie Verticale

Il est plus facile de rayer l'obscurité que la lumière il suffit de la craie fidèle d'une pensée Roberto JUARROZ A découvrir d'urgence en tapant " Roberto Juarroz " sur Google par exemple.
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