11 janvier 2005
Epitaphes
Ils n'ont pas la moindre lueur de douceur ,
ni l'accouplante innocence du sanglier .
Ils ne cherchent pas sur les lèvres
le printemps qui fourmille .
Ils ne descendent pas à la citerne , ne contemplent
d'eau ni de visages tremblants .
Antonio OSORIO
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